Hello, hello tous le monde ! Je vous souhaites à tous une merveilleuse année (il n’est pas encore trop tard) et vous retrouve aujourd’hui avec une nouvelle série d’articles que j’ai appelé « TBOOK » car oui, je vais vous parler de mes lectures. Je suis toujours en quête de lecture et que ce soit un gros coup de cœur ou une déception j’aime donner mon avis sur dessus. J’ai donc, pour inaugurer cette série, décidé de vous parler du livre : Le passeur de Lois Lowry.

Tous d’abord, je tenais à vous informer qu’il s’agit de mon livre préféré au monde donc ne juger pas trop durement mon manque d’objectivité ! J’ai du lire ce livre en 4^ème ou 3^ème si je ne me trompe pas mais qu’est-ce qu’il m’a bouleversé. Même après tous ce temps c’est un réel plaisir de lire encore et encore.

Il faut savoir que Le Passeur (ou The Given) est une dystopie, cela signifie que l’histoire se déroule dans un monde qui se veut parfait mais qui cache une sombre réalité… tous ce que j’aime ! Je vais tâcher de vous raconter l’histoire et mon ressentis sans trop révéler plus de chose que ce que l’ont peut trouver sur la quatrième de couverture.

Le monde dans lequel vit Jonas, le personnage principal, se nomme « la communauté ». Dans ce monde, il n’existe ni guerre, ni pauvreté, ni chômage et ni divorces. L’harmonie règne au sein des cellules familiales qui sont constituées par le Comité des Sages. Ce comité organise chaque année une grande cérémonie durant laquelle Jonas se verra attribué son métier : Passeur.

Le Passeur, appelé également dépositaire de la mémoire, est l’unique personne de la communauté qui sait comment était le monde dans le passé. A part lui, personne ne sait comment les gens vivaient dans le passé, comment était les animaux ni comment l’œil humain pouvait voir les couleurs.

 L’une des beautés de se livre c’est la beauté avec laquelle nous sont décrites les sensations que vit Jonas qui n’a que 12 ans. Jonas va devoir tous découvrir : le chaud, le froid, la sensation de brûlures… Et avec le point de vue de Jonas on a une immersion totale, qui m’a presque donné l’impression de revivre ces sensations avec lui.

Un second point qui n’est pas des moindres car il est très important pour la suite de l’histoire ce sont les sentiments. Dans cette communauté, il n’existe pas de sentiments à proprement parler. Personne ne sait ce qu’est la rebellions, l’amour, la haine, la jalousie mis à part la joie. Et la découverte de tous ses sentiments va développer la réflexion de Jonas sur le monde dans lequel il vit ainsi que son esprit d’analyse. Il va alors commencer à réfléchir par lui même et non appliquer mécaniquement ce que « Le Conseil des Sages » leur a toujours dicté de faire.

Cette nouvel façon de penser va lui ouvrir les yeux sur tous le côté sombre de sa communauté que nous, lecteurs, nous découvrons au fils des chapitres et je peux vous dire Lois Lowry n’a pas fais les choses à moitié.

Ce livre je vous le recommande parce que même si vous n’aimez pas les dystopies, voir la façon avec laquelle Jonas analyse son environnement, peut vous aider à observer différemment le monde qui vous entoure et développer votre esprit critique. Il fait un peu plus de 200 pages et se lit très vite.